Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle: Agun, Philippe Et Moi
RAPPELS
Philippe et moi, Agun et moi, formons deux couples parallèles, sans consti un trio. Pourtant, au fil du temps,des liens, que j'ai encouragés, se sont créés entre Philippe et Agun. C'est de cela dont je veux parler parce que c'est important pour mieux nous comprendre.
Jai expliqué, dans sept textes publiés sous cette rubrique sur HDS (les 27 octobre 2019, 25 novembre 2019, 7 janvier, 6 février, 11 mars, le 18 avril et le 4 mai 2020), les conséquences de mon adultère avec N et comment javais pu reconstruire ce que javais failli détruire, suite à ma trahison et revenir à la situation antérieure, avec, dune part, mon couple candauliste avec Philippe et, dautre part, mon « autre » couple avec Agun, dont jai longuement parlé dans un autre texte (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse », paru le 14 novembre 2018).
Jai également souligné le rôle central quavait joué Agun, dabord parce quelle avait pardonné ma trahison, ensuite parce quelle avait fortement contribué à ce que je retrouve ma place auprès de Philippe.
Agun et moi savons que le bonheur qui est le nôtre depuis bientôt six ans, cest dabord à Philippe que nous le devons. Agun ne la jamais oublié et cest ce qui la poussé, quand je suis revenue de ma folle escapade auprès de N, à tout faire pour ma réconciliation avec Philippe et non de suivre ma proposition, que Philippe avait faite dailleurs de son côté, dune officialisation de mon couple avec Agun, une fois le divorce acté avec Philippe
En apparence, tout est revenu à la normale, ma vie sorganisant entre les charges familiales, qui sétaient accrues avec la naissance dun quatrième , Alexandre, reconnu par Philippe, et mes « deux » couples, lofficiel, avec Philippe et le saphique, avec Agun, que je rejoignais à chaque fois que je le pouvais, en journée en particulier. Philippe favorise cet équilibre et veille à ce que, de temps en temps, nous puissions donner libre cours à mon hypersexualité et à son candaulisme, tout cela, comme convenu, à son initiative.
Il avait fallu aussi, pendant plusieurs mois, tenir compte de la double vie de Philippe et de sa maîtresse Théodora. Alors que, dans un passé récent, je navais pas accepté la moindre rivale et consenti à Philippe la réciprocité des libertés quil mencourageait à prendre, javais dû cette fois-ci adopter une toute autre approche. Cest Théodora qui rompra assez rapidement cet équilibre. Nacceptant pas mon retour, surtout comme épouse officielle alors quelle était cantonnée, malgré sa maternité, dans le rôle de maîtresse, elle avait fini par demander à Philippe de choisir entre elle et moi. Devant le refus de celui-ci, elle avait décidé de rompre.
AGUN ET LA FEMME DE SA VIE
Jai longuement parlé dAgun dans le texte publié sur HDS le 14 novembre 2018 et que jinvite à relire pour mieux comprendre.
A 34 ans, Agun navait jamais connu un homme, elle nétait pas bisexuelle mais exclusivement lesbienne. Pour bien comprendre Agun, il faut aussi rappeler que même son expérience avec les femmes était limitée.
En fait, Agun na connu, dans sa vie intime, que deux amantes.
Une touriste française, Françoise, la initié aux plaisirs saphiques, alors quAgun navait que 17 ans. Ce fut une révélation pour la jeune fille qui comprit alors quelle était lesbienne. Agun fut follement amoureuse de Françoise, femme proche de la quarantaine, qui réussit à lui trouver un travail dans le salon de massage où je devais la rencontrer par la suite. Françoise, qui était mariée et mère de famille,était en secret bisexuelle. Elle entendait bien que sa liaison reste discrète et même secrète. Elle finit par se lasser de la jeune Thaïlandaise, le prétexte de la rupture fut pour Françoise une mutation professionnelle. Agun a été très marquée par cette rupture brutale. Elle la vécue comme un abandon, une trahison, car elle avait compris que cette femme navait aucun sentiment pour elle.
Courageuse, ayant besoin de travailler pour soutenir sa famille restée au pays, Agun pensa alors quelle ne connaitrait jamais le grand amour.
Et pourtant, comme je lai racontée dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (6) : résistance et dérapages. » paru le 23 décembre 2016, texte que jai repris dans le récit publié le 14 novembre 2018, notre rencontre fut un coup de foudre qui a changé la vie dAgun. Elle ne mavait jamais vu, mais est tombée immédiatement amoureuse. Elle fit ce jour-là une chose quelle navait jamais faite jusqualors : cest elle qui prit linitiative et ce fut un moment merveilleux qui restera dans ma mémoire.
Nous en avons reparlé récemment :
Agun ma chérie, tu mas dit quentre Françoise et moi, tu navais connu personne, que tu navais eu aucune relation.
Cest vrai mon Olga. Ce quavait fait Françoise mavait beaucoup blessé, je navais pas envie de recommencer ça.
Jolie comme tu es, ne me dis pas que dautres ne tont pas dragué ?
Bien sûr, des hommes et des femmes, mais ça ne mintéressait pas. Ce quils voulaient, cétait du sexe, cétait couché avec moi. Moi javais envie dautre chose, le grand amour, mais je ny croyais pas, ou je ny croyais plus
Alors pourquoi moi ? Tu ne me connaissais pas !
Cest vrai. Je tai vu et je ne sais pas ce qui sest passé, je suis tombée immédiatement amoureuse. Tu mas fascinée.
Pourtant de jolies femmes, tu as dû en voir souvent dans ce salon. Cest vrai que moi aussi jai immédiatement été frappée par ta gentillesse, ton sourire, ta douceur. Et je ne sais pas pourquoi, demblée, mes tétons traduisaient mon excitation.
Tu ten es même excusée et je me suis permise de te dire «Vous êtes si belle, Madame Olga. Ne vous excusez pas, votre poitrine est si jolie, vous pouvez la montrer sans gêne ». Jamais je navais parlé ainsi à une cliente.
Tu mas examiné des pieds à la tête, tattardant sur mon pubis et plus longuement sur mes seins. Ce regard, qui me fouillait, provoquait un frisson dexcitation supplémentaire dans mon bas-ventre, mes seins durcissaient, mes mamelons se raidissaient encore plus.
Cest à ce moment-là que je me suis dit que je te voulais, que tu étais celle que jattendais. Quel que soit le risque, le prix à payer, je te voulais, javais envie de toi comme je navais jamais eu envie de personne. A ce moment-là, je ne savais pas que tu étais bisexuelle. Tu aurais pu me repousser, pire te plaindre de mon comportement. Je me suis laissée aller à mon instinct, à mon désir.
Mon amour, ce jour restera à jamais dans mes souvenirs.
De ce jour date en effet lamour fou dAgun pour moi. Jai raconté dans les récits auxquels je fais référence, notre brève mais intense liaison, les circonstances qui ont amené Agun à rentrer en Thaïlande, notre longue séparation de plus de 9 ans, période au cours de laquelle nous sommes restées en contact. Pendant toutes ces années, Agun fut ma confidente et mon soutien moral, me restant fidèle malgré mes turpitudes et sans même avoir lespoir de me revoir.
Jai aussi raconté comment, grâce à Philippe, nous nous sommes retrouvées en 2013 et comment jai fait en sorte, par la suite, de la faire revenir auprès de moi, formant avec elle un second couple, aux côtés de mon couple officiel avec Philippe.
Jai aussi expliqué, dans le texte paru le 6 février 2020 « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : du candaulisme à ladultère (4) » comment Agun a pardonné ma trahison, alors que je lavais quittée, comme javais quitté Philippe, pour rejoindre mon amant N.
Cest dabord grâce à Agun que jai pu retrouver ma place auprès de Philippe et reconstruire ce que javais failli détruire définitivement : je renvois sur ce point aux textes suivants :
« Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : du candaulisme à ladultère (5 : la fessée) », paru le 11 mars 2020
"Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : du candaulisme à ladultère (épilogue et retour au candaulisme)", paru le 18 avril 2020.
Tous ces rappels sont importants pour comprendre ce texte, en ayant à lesprit qui est Agun pour moi et la force des liens qui nous unissent.
Si aucun lien officiel ne nous unit, Agun et moi, je me dois dêtre à la hauteur de son amour et fidèle à ma promesse de ne pas lui faire revivre la déchirure que lui avait infligée Françoise.
PREMIERE COHABITATION
A son retour en France, Agun a vécu quelques semaines chez nous, avant davoir son propre appartement.
De là remonte le premier rapprochement entre Philippe et Agun. Agun savait que cétait Philippe qui mavait encouragé à me rendre en Thaïlande pour la retrouver, puis à la faire revenir en France. Il a beaucoup uvré pour cela, pour lui permettre de revenir, pour lui trouver un travail et, ensuite, lui trouver un logement non loin de chez nous. Il a tout de suite mis Agun à laise, lintégrant pleinement dans la famille. Cest Philippe qui proposa quAgun soit la marraine de notre troisième fille, Sofia.
Il a aussi demblée accepté quAgun et moi formions, à côté de notre couple officiel, un second couple. Philippe a toujours veillé que nous puissions nous retrouver régulièrement, que je puisse passer des nuits damour avec celle que je considère comme ma femme, mon épouse.
Ces quelques semaines de cohabitation à trois étaient nécessaires pour que lon trouve un appartement pour Agun, qui soit assez proche de chez nous pour que je puisse la rejoindre à chaque fois que cétait possible. Elles furent la première pierre dans la construction des liens qui unissent trois personnes à travers deux couples.
Cette cohabitation imposait des précautions. Philippe avait eu le tact infini de laisser le lit conjugal à Agun, celle-ci me rejoignant une fois que nous étions certains que les s dormaient. Nous ne voulions pas courir le risque que les s, en particulier la plus grande, ne surprennent leur mère au lit avec marraine Agun. Je me souvenais, des conséquences quont eues sur moi les scènes interdites auxquelles jai assistées clandestinement pendant mon adolescence, je ne voulais pas que cela se reproduise et cela ne pouvait donc être durable, quand bien même les filles adorent Agun.Jai raconté dans « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle: confinée, déconfinée (1) », paru le 10 juillet que des années plus tard, lors du confinement, Agun nous ayant rejoint pendant cette période, ma fille Lucie a compris les relations entre sa mère et Agun. La réaction de ma fille na fait que confirmer mes pires craintes, mais ceci est une autre histoire.
Agun, je lai dit, navait jamais connu dhomme et ne sétait jamais montré nue à un homme. Cest pourquoi il nétait pas question pour elle que Philippe puisse la voir dans lintimité. Cela sest produit inévitablement au cours de ces semaines, sans que Philippe ne surprenne Agun volontairement. Je me rappelle quAgun en avait été presque traumatisée.
Cela nous a valu un échange tendu avec Philippe, sur un sujet où jai toujours refusé toute réciprocité aux libertés quil maccordait.
Philippe, pourquoi Agun a-t-elle crié ?
Elle était à la salle de bains, nue. Elle avait oublié de fermer la porte à clés. Je me suis excusée. Mais tu sais, elle est superbe ta chérie. Si elle nétait pas ta femme et une lesbienne exclusive, je moccuperai volontiers delle. Elle aurait besoin de connaitre une étreinte virile.
Fais attention, tu sais très bien que je nai jamais supporté que tu approches dune autre femme et encore moins que tu aies une relation avec elle.
Je nai pas oublié quand tu nous avais surpris avec Flavienne alors que nous étions en pleins ébats (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », paru le 28 septembre 2017). Jai cru ce jour-là que tu allais Flavienne. Tu étais une vraie furie.
Je laurais fait si tu nétais pas intervenu, car cette putain me volait mon homme. En tout cas napproche pas une autre femme, Agun pas plus quune autre.
Ne tinquiète pas, je plaisantais. Avec Agun, aucun risque, elle naime pas les hommes.
Je me suis alors convaincue quil fallait quAgun abandonne cette phobie et accepte que dautres que moi puissent la voir dans lintimité.
Jai fini par aborder le sujet avec ma chérie, un soir, après de longs ébats où notre science des plaisirs saphiques nous avait laissé épuisées.
Agun, chaque soir, Philippe nous laisse le lit conjugal pour que nous puissions faire lamour. Il dort dans la pièce dâ côté pour éviter que les filles puissent nous surprendre.
Je le sais mon amour et je lui en suis infiniment reconnaissante.
Le pauvre, depuis que tu es chez nous, je me réserve à toi et la seule chose à laquelle il a droit, est dentendre, à travers la porte, nos cris de plaisir. Je sais que ça doit lexciter beaucoup.
Je sais, Olga, que tu es hypersexuelle et que tu as besoin de faire et souvent lamour avec des hommes. Je ne ten empêche pas et de quel droit dailleurs ? Quest-ce qui tempêche de faire lamour avec Philippe ou avec dautres ? Il en est daccord et dailleurs il adore ça. La seule chose que je te demande, ma chérie, cest dêtre ta seule femme désormais!
Je te lai promis mon Agun. Tu mas tellement manqué pendant toutes ces années que je suis insatiable de toi. Philippe ne se plaint pas, mais je voudrais lui faire plaisir.
Que veux-tu dire ?
Philippe, comme tous les hommes, aime être le témoin débats saphiques, même sil préfère me voir prise par un mâle.
Olga, sil te plait, je ne veux pas quon puisse nous voir ensemble. Et je ne veux pas quun homme puisse me voir nue.
Tu es ma femme, Agun et tu mas promis amour et obéissance, nest-ce pas ?
Oui, Olga, je ferai toujours tout ce que tu veux, pourvu que tu maimes et ne me quitte jamais.
Triomphante, je me suis levée, dans le plus simple appareil, me rendant dans la pièce dà côté. Je savais que Philippe ne dormait pas, nos cris de plaisir len avaient certainement empêché.
Viens mon chéri et assieds-toi dans ce fauteuil, comme tu aimes le faire. Je sais que tu vas adorer ce que tu vas voir. Nous allons nous aimer encore, Agun et moi, mais cette fois devant toi, comme deux tribades.
LA PREMIERE FOIS OU JE FIS LAMOUR A AGUN DEVANT PHILIPPE
Agun se tient devant moi, un sourire légèrement gêné aux lèvres.
Philippe me dépose un baiser tendre sur les lèvres. Il sassoit sur ce fauteuil qui a souvent été le complice de nos aventures candaulistes.
Philippe nous observe, silencieux, fasciné par notre complicité et notre amour. Ce nest certes pas la première fois que Philippe me voit faire lamour avec une femme, mais cest la première fois quil me voit avec Agun. Jusquà ce soir-là, ça lui était interdit.
Agun me murmure à loreille un mot damour. Nous nous sourions et nous échangeons un regard qui en dit long. Ma main caresse maintenant le dos et la naissance des fesses d'Agun.
Nos mains se font aventureuses. Jenlace la taille d'Agun et ma main vagabonde entre sa hanche et la naissance de sa cuisse, pendant que celle d'Agun s'attarde sur mes cuisses.
Contrairement à nos habitudes dans notre couple, Agun est cette fois à linitiative : ses mains parcourent mes épaules, mes fesses, mes seins. De mon coté, je commence à caresser la poitrine d'Agun.
Agun prend mon visage dans ses mains et dépose sur mes lèvres un long baiser amoureux. En continuant notre long baiser fougueux jusquà en perdre le souffle, nous basculons sur le lit. Je moffre totalement et dautant plus que Philippe est le témoin de notre amour.
Agun passe la main dans mes cheveux, puis sur ma joue, infiniment tendre. Elle tend les lèvres vers moi. Je lui rends son baiser. Jadore lembrasser. Cest tellement doux, tellement sensuel. Nos langues de filles se caressent. Un parfum dinterdit flotte dans cette chambre. Un parfum qui menivre. Je prends maintenant la bouche de ma belle à pleine bouche, et elle me le rend bien.
Nous oublions presque la présence de Philippe, nous nous embrassons sans retenue, nous nous enlaçons, notre baiser est de plus en plus vif, de plus en plus audacieux. Nos bouches s'ouvrent plus grandes, nos langues s'emmêlent avec passion.
Ses seins insolents pointent vers moi, puis son cul ferme, haut et rebondi. Elle vient se coller à moi. Elle agace doucement mes tétons de sa langue inquisitrice. Nous sommes maintenant toutes les deux, allongées lune contre lautre, elle me grimpe dessus. Quel plaisir de sentir ses seins glisser contre ma poitrine, de prendre à pleines mains ses fesses tandis quelle me roule des pelles.
Agun sait ce quil faut faire pour me rendre folle de désir et de plaisir. Sans plus attendre, elle tend sa bouche vers mon sein gauche. Elle embrasse, léchouille, mordille le sein et le téton, fait de même avec le sein droit. Ses mains se baladent sur mon ventre, mes hanches et mes cuisses. Alors quAgun na pas encore approché ma chatte ouverte et humide, qui attend ses doigts et sa langue, mon souffle est saccadé. Je ferme les yeux. Je sais que Philippe ne perd pas une miette du spectacle que nous lui offrons. Et sa présence, sa complicité, son assentiment, son excitation, comme toujours, décuplent mon envie et la montée de mon plaisir.
Agun descend le long de mon corps de femme, embrasse mon cou, mes épaules, à nouveau mes petits seins puis mon ventre. La main d'Agun se faufile enfin entre mes jambes et les premières caresses déclenchent des gémissements de plaisirs. Je sais quelle va vouloir me lécher, jen ai très envie. Ça y est, ses lèvres se posent sur mon mont de Vénus, quelle embrasse tendrement.
Sa langue vient sinsinuer en haut de ma chatte, pour y trouver mon clito. Sa langue vicieuse va de mon bouton à ma chatte puis revient à nouveau. Je vais défaillir, vite. Un orgasme puissant me monte du ventre jusquà toutes les terminaisons nerveuses de mon corps.
Je résiste tant que je peux. Mes yeux mi-clos rencontrent le regard de Philippe. Il ne dit rien, mais je comprends quil mencourage à me laisser aller, à jouir, encore et encore, à lui offrir mon plaisir.
Je me cambre, puis je narrive plus à me contrôler. Philippe le comprend. Sans que jai besoin de le lui demander, il sapproche et me donne la main.
Au moment où je jouis, jécrase les doigts de Philippe tellement cest fort. Pour éviter que mes cris ne réveillent la maison, Philippe prend ma bouche pour un baiser fougueux, à en perdre haleine. En même temps, mes ongles labourent ses épaules, profondément.
Calmée, jembrasse à pleine bouche Agun, puis Philippe. Nous sommes tous les trois sur le lit. Mon mari et ma femme ont chacun la tête sur une de mes épaules. Je leur dis, les embrassant à tour de rôle, combien je les aime.
Je nen nai pas fini. Cette nuit sera longue. Je veux rendre la pareille à ma chérie. Mais dabord goûter à ses beaux seins fermes et ronds. Jai envie de les téter pendant des heures.
Je me pince les lèvres, ferme les yeux et à mon tour javenture la main vers la chatte d'Agun, elle aussi commence à soupirer. Mes doigts sont à l'intérieur de la chatte de ma chérie et commence un massage plus long, plus intense.
Agun membrasse partout sur mon corps, en présence de Philippe, fasciné. Je ne me contrôle plus. Quel plaisir, quel bonheur! Ses seins caressent les miens pendant quelle membrasse. Sa main caresse mon sexe. Je suis toute mouillée, mes tétons sont durs... Agun est mouillée aussi, ses seins pointent comme les miens. Sa peau est douce et ses gestes sont dune tendresse infinie.
A ce moment, je veux montrer à Philippe comment fonctionne mon couple saphique.
Philippe, mon chéri, il y a un paquet dans la table de nuit. Tu peux le prendre et le donner à Agun.
Philippe me tend le paquet. Je m'adresse à Agun:
Agun, Jai une surprise pour toi, ma chérie. Ouvre ce paquet cadeau !
Agun sexécute et comprend. Il sagit dun gode ceinture noir, particulièrement réaliste. Nous en avons dautres, nous pratiquons cela régulièrement, car jaime la prendre et quelle se comporte en femme, qui soffre à la virilité de son mari, cest-à-dire à moi Mais celui-ci, avec ses 25 centimètres, était le plus long et le plus gros que javais utilisé avec elle jusqualors.
Agun se met sur le dos face à moi et me dit :
Vas-y, fais-moi lamour.
Je vais te baiser, te défoncer, petite salope et devant mon mari. Tu es ma femme. Tu veux ?
Oui, mon amour, je veux !
Agun serre la ceinture autour de moi. Je suis folle de désir.
Philippe mencourage :
Baise-la !
Je mexécute de suite. Jenfonce dabord doucement le gode dans le sexe dAgun. Il rentre très facilement vu son excitation.
Jaccélère le mouvement, tout en lui léchant les seins. Elle crie, elle hurle de plaisir.
Jenfonce alors mon faux sexe dans la chatte dAgun en un seul coup. Celle-ci crie de stupeur, elle ne sattendait pas à être pénétrée de la sorte.
Doucement chérie.
Agun, malgré nos pratiques régulières, nétait pas habituée à un tel calibre ni à une telle brutalité. Des larmes brillent dans ses jolis yeux, mais, désireuse de ne pas sopposer à mon désir, elle se laisse faire.
Un jour, tu ten prendras une vraie ! Tu verras comme cest bon !
Je me mets à limer sans discontinuer la chatte dAgun. Celle-ci sétant bien vite tue. Maintenant, jentends uniquement ses gémissements. Elle apprécie ce que je lui fais.
Je me mets à mon tour sur le dos et elle sempale sur moi. Elle se met à me chevaucher, à chevaucher mon cadeau... Ses seins ondulent en même temps quelle bouge. Agun est si belle quand son regard, son visage expriment sa jouissance.
Je demande à Agun de se mettre à genoux pour que je puisse la prendre en levrette. Jaccélère de toutes mes forces le mouvement. Je la pénètre violemment en maidant de mes mains pour la tenir par les fesses. Je lui donne de temps en temps de petites claques sur ses fesses. Agun est à moi et cela me fait à mon tour grimper au septième ciel.
PREMIER "TRIO"
Cette soirée-là fut particulièrement chaude, comme une récompense pour Philippe. Agun et moi nous fîmes tout ce que deux femmes pouvaient faire ensemble : caresses et baisers fougueux, cunnilingus, ciseaux, gode double, doigtage allant jusquau fist-fucking. Nous étions insatiables et Ce fut une longue nuit de plaisir.
Philippe ne se contenta pas de mater nos ébats, ou encore de tenir ma main quand je prenais mon pied ou de membrasser pour mes cris de plaisir.
Il méritait davantage. Je voulais quil participe.
Je lai appelé près de moi, car je voulais partager mon corps entre mon mari et ma femme. Jai senti linquiétude dAgun :
Chérie, je te lai promis, il ne te touchera pas. Mais jai envie de lui comme jai envie de toi.
Ce fut une merveille, dêtre embrassée par lun, puis par lautre, davoir quatre mains et deux bouches qui ne me laissaient aucun moment de répit.
Javais déjà baisé avec deux hommes et davantage et donc ce nétait pas la première fois quune langue soccupait du téton gauche, pendant quune autre langue soccupait du téton droit.
Mais je dois dire que ce fut unique, exceptionnel, quand Philippe et Agun se sont relayés pour moffrir un cunnilingus denfer que je ne suis pas prête doublier, ne me laissant aucun répit, allant même jusquà pratiquer en même temps, leurs langues à quelques millimètres lune de lautre, sans que cela naille plus loin, leur seule préoccupation étant mon plaisir.
Jai aussi demandé à Philippe de se vider dans ma bouche pendant quAgun me faisait jouir. Et, à la fin de la nuit, avant quépuisés, nous nous endormions ensemble dans le même lit, Philippe ma prise, Agun restant à mes côtés pour membrasser et me caresser. Je voulais quelle soit, à son tour, le témoin de mon plaisir.
Philippe sut trouver les ressources pour me prendre longuement, sous diverses positions. Il devait avoir envie de montrer à Agun que lui aussi était capable de me faire mourir de plaisir.
Entre deux baisers fougueux à Agun, je commentais pour celle-ci la montée de mon plaisir :
Oh Philippe, mon amour, vas-y mon chéri, démonte-moi. Agun, ma chérie, tu ne peux pas savoir comme cest bon. Jaimerai quun jour tu connaisses ce plaisir !
Le lendemain, quand nous avions repris nos esprits, Agun me dit combien elle avait aimé cette soirée, mais ajouta immédiatement quelle navait pas changé davis en ce qui concerne ses relations avec les hommes.
Pour le moment, javais décidé de ne pas insister, ligne de conduite que jai suivie jusquaux événements liés à mon escapade avec N.
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